Schématiquement parlant, il se présente la plupart du temps de cette manière :
Synopsis de « TITRE DU ROMAN » de « NOM DE L’AUTEUR »
Le genre de l'oeuvre
Chapitre 1 - Titre (provisoire ou pas)*
- Idée (ou « Scène ») n°1 : développer en deux ou trois lignes.
- Idée (ou « Scène ») n°2 : développer en deux ou trois lignes.
- Idée (ou « Scène ») n°3 : développer en deux ou trois lignes.
Chapitre 2 - Titre (provisoire ou pas)
- Idée (ou « Scène ») n°1 : développer en deux ou trois lignes.
- Idée (ou « Scène ») n°2 : développer en deux ou trois lignes.
- Idée (ou « Scène ») n°3 : développer en deux ou trois lignes.
Etc., etc.
* Provisoire dans le cas où vous feriez ce plan avant d'écrire votre histoire. Si vous le faites en vue de l'envoyer en maison d'édition, il est préférable que les titres de chapitres soient définitifs.
Le nombre d'idées dans mon exemple n'est pas figé. Si vous avez deux scènes par chapitre, c'est bien aussi. Personnellement, je pense qu'il est préférable de ne pas excéder les trois idées par chapitre au risque que cela devienne trop fouillis. Avoir au minimum deux scènes par chapitre permet de développer aisément son histoire. Si vous faites le choix de n'avoir qu'une seule scène par chapitre, veillez à ce qu'il soit bien écrit afin d'éviter qu'il soit trop pauvre.
Si on fait une petite recherche sur internet, il est dit qu’un synopsis ne doit pas dépasser trois pages. Attention ! Ne cherchez pas à influencer la maison d'édition. La formulation doit rester neutre et retranscrire fidèlement votre histoire.
Plus concrètement, qu’est-ce qu’on écrit dans le synopsis ?
Un bref résumé des actions et les personnages concernés (souvent les principaux, parfois les secondaires si besoin) et c’est tout. Si vous comptez l’envoyer en maison d’édition et que cela est demandé, n’oubliez pas d’inclure vos coordonnées. En revanche, si vous passez par l'autoédition, vous pouvez vous permettre d’ajouter un ou deux détails, mais faites attention à ne pas l’alourdir.
Le fait que le plan soit très léger permet de laisser libre cours à son imagination. Sa souplesse peut donc aussi bien convenir aux auteurs architectes qu'aux auteurs jardiniers.